Depuis 2012, Tchéky Kario et Félix Bossuet, respectivement César et Sébastien dans le film, tournent devant des réalisateurs différents, mais toujours dans les décors de la Haute-Maurienne. Photo DR/Eric TRAVERS
Depuis 2012 et le premier “Belle et Sébastien” réalisé par Nicolas Vanier, la Haute-Maurienne Vanoise est devenue le décor de cette histoire d’amitié entre un enfant et un gros chien blanc, sur grand écran. Un décor qui, grâce à l’impact du cinéma, a permis de faire rayonner, mieux qu’aucune campagne de communication, l’image de la Haute-Maurienne Vanoise en France et à l’international.
Alors que le dernier chapitre de “Belle et Sébastien” est en cours de finition, l’office de tourisme de Haute-Maurienne Vanoise veut prolonger le plus longtemps possible son histoire avec le long-métrage. « Pour “Belle et Sébastien, le dernier chapitre”, nous n’allons pas communiquer plus que sur les précédents, mais différemment. Le mot d’ordre, c’est “la Haute-Maurienne Vanoise, la montagne de Belle et Sébastien”, que ce soit en hiver ou en été », informe la directrice adjointe de l’office de tourisme, Corine Binet.
Dans cette stratégie, les Mauriennais disposent d’un atout de taille : un contrat de licence négocié avec la production du film pour utiliser l’affiche sur différents supports de communication. « On va aussi parler de la Haute-Maurienne à travers les opérations mises en place. Ainsi, un jeu concours “Belle et Sébastien” est organisé par Tefal sur les produits “montagne” comme les appareils à raclette. À la clé : des séjours en Haute-Maurienne. Les familles sont les cibles de cette opération », souligne-t-elle.
Par Agnès BRIANÇON-MARJOLLET